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Douze moyens de réduire les coûts avec SQL Server 2008

Data - Par Loïc Duval - Publié le 14 septembre 2011
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SQL Server est à la fois une plateforme de gestion et d’analyse de données. Les innovations apportées sur ces deux facettes par l’édition 2008 offrent aux entreprises de réelles économies, de nouvelles perspectives de gains et une importante réduction des coûts d’infrastructure, développement et administration…

En ces périodes de crise économique, où une forte pression pèse sur les épaules des IT et où la plupart des entreprises impose une drastique réduction des coûts IT, l’adoption de SQL Server 2008 s’avère vitale pour concrétiser cette réduction des coûts tout en offrant à l’entreprise de nouvelles perspectives et un accroissement de sa performance. Regrouper en 3 grands thèmes qui résument bien les préoccupations actuelles des entreprises, nous allons découvrir ici 12 moyens de réduire immédiatement les coûts grâce à SQL Server 2008.

Douze moyens de réduire les coûts avec SQL Server 2008

Maximiser votre ROI

Versions après versions, Microsoft n’a cessé d’ajouter toujours plus de briques et fonctionnalités dans SQL Server poursuivant une même stratégie : proposer la plateforme la plus complète au meilleur prix. Sans aucun surcoût, l’acquisition de SQL Server 2008 vous donne accès à une plateforme décisionnelle d’entreprise complète (avec ETL, OLAP, Data Mining et Reporting serveur+ad-hoc), à la gestion des informations géo-spatiales, au support étendu des données semi-structurées et XML, à l’intégration de connecteurs (Oracle, Teradata, SAP), etc. En outre, les économies s’inscrivent dans la durée à l’instar des mises à jour de 2005 vers 2008 totalement transparentes ou celles de 2000 vers 2008 rapides et facilitées par le très pertinent assistant Upgrade Advisor. Une récente étude Forrester évaluait à 162% le retour sur investissement d’une mise à jour vers SQL Server 2008 en 6 mois (seulement !). Pas étonnant, dès lors, que beaucoup considère que SQL Server 2008 possède le meilleur TCO (coût global de possession) du marché.

Un schéma de licences avantageux

Alors que la majorité des serveurs actuels sont équipés de processeurs quadri-cœurs (Intel Xeon 7300 et 5300) et que les premiers processeurs hexa-cœurs (Xeon 7400) et octo-cœurs (Xeon Beckton) sont attendus dès cette année et alors même que la virtualisation multiplie les instances au sein des machines, Microsoft a su faire évoluer sa politique de licences pour prendre en compte ces évolutions et se montrer encore plus attractif. Microsoft est ainsi l’un des rares éditeurs à conserver un « pricing » au « socket » (autrement dit au processeur, quel que soit le nombre de cœurs) et introduit avec l’édition Entreprise un « pricing » sur la virtualisation imbattable : vous pouvez faire tourner autant d’instances virtualisées que vous le souhaitez.

Consolider les systèmes

Parce qu’une consolidation consiste à utiliser plus efficacement moins de matériel, ses bénéfices sont à la fois financiers et environnementaux. Elle réduit en effet les coûts aussi bien en termes de matériels et de licences qu’en termes de consommation énergétique, de refroidissement, d’administration et bien sûr d’espace. SQL Server 2008 est aujourd’hui un partenaire indispensable dans la consolidation de vos serveurs. Celle-ci peut s’effectuer soit en hébergeant plusieurs bases de données sur une même instance (si les politiques de sécurité et de maintenance sont similaires), soit en hébergeant plusieurs instances sur un même serveur (la licence autorise jusqu’à 50 instances SQL par licence), soit en hébergeant SQL Server sur des machines virtuelles pour profiter d’une isolation maximale de chaque instance (vous n’avez besoin que d’une seule licence de Windows Server et SQL Server par processeur physique, quel que soit le nombre de machines virtuelles installées).

Gérer efficacement la croissance des données

On le sait, pour appréhender l’explosion des données induite non seulement par l’activité et la BI de l’entreprise mais aussi par sa croissante dépendance aux sources informatives du Web, un SGBD doit être capable de stocker et gérer efficacement de très larges volumes de données. Il doit aussi, désormais, supporter toutes sortes d’informations qui vont bien au-delà du classique schéma relationnel comme le stockage et l’indexation des contenus XML, la gestion des données non structurées ou semi-structurées, la prise en charge des données géo-spatiales. Tous ces nouveaux types sont pris en charge nativement et en standard par toutes les éditions de SQL Server sans que vous ayez à investir dans des technologies additionnelles. L’apparition de la gestion du parallélisme sur les partitionnements, l’optimisation des index filtrés et des schémas en étoile (star join), et la compression native des données et des sauvegardes font de SQL Server 2008 une plateforme de données capable d’absorber et manipuler de très grosses volumétries de données (dizaines de Téraoctets et milliards de lignes).

Optimiser les ressources

L’un des atouts clés de SQL Server 2008 en terme de ROI est sa capacité à tirer pleinement partie et à étendre la durée de vie de vos investissements matériels. Le Resource Governor est un apport capital de la version 2008. A lui seul, il constitue une arme pour un meilleur ROI. Car il permet d’écrêter la courbe CPU, de consolider efficacement plusieurs instances SQL Serveur sur un serveur et surtout de garantir un niveau de service optimal aux utilisateurs.

Douze moyens de réduire les coûts avec SQL Server 2008

Autrement dit, le Resource Governor de SQL Server 2008 permet de mieux exploiter l’infrastructure en régulant les ressources mémoire et processeur attribuées à des applications ou à des types d’utilisateur. Sous SQL Server 2000 et 2005, toutes les requêtes avaient la même priorité. Sous SQL Server 2008, le Resource Governor permet de fixer des priorités sur les scénarii les plus importants (afin de respecter des SLA entre autre) et de gérer les contentions ressources de manière proactive.

Par exemple, on peut imaginer réduire la part d’utilisation CPU du compte administrateur SA à 20% afin de s’assurer qu’aucune tâche d’administration ne vienne impacter la production, tout en s’assurant que toute tâche d’administration urgente sera bien réalisable même en pleine utilisation par la production. On peut également s’assurer qu’une génération de cubes ne vienne pas empiéter sur la réalisation de requêtes plus urgentes.

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