Le « buzz » autour de l’informatique via Internet (en anglais, cloud computing) a été assourdissant ces derniers mois.
Cet article effectue un tour d’horizon des offres existantes et de leur coût. Après Amazon la semaine dernière, découvrez aujourd'hui IBM, Microsoft et VMware.
Le produit de cloud privé d’IBM fait appel à un cloud privé sur site comme option principale pour la majorité des entreprises. Comme c’est le cas avec la plupart des produits de l’éditeur, les sociétés doivent vraiment payer l’approche IBM. L’éditeur personnalise fréquemment une offre en exploitant l’infrastructure interne déjà en place dans la structure informatique, y compris en utilisant des grands systèmes pour héberger les services de cloud. Cette approche fait appel à la fameuse unité de consulting IBM. Les consultants mettent l’accent sur la sécurité et la gouvernance, ce qui maintient la plupart des offres de cloud de la société au sein du centre de données.
Toutefois, IBM ne se limite pas à l’activité de consulting et à des changements majeurs. L’arrivée des plates-formes IBM dans l’univers du cloud privé porte le nom de CloudBurst. Cette solution est basée sur la plate-forme System x/BladeCenter et elle est préinstallée avec l’infrastructure du cloud.
CloudBurst est une approche de plate-forme de cloud privé qui n’utilise pas la technologie existante, mais crée plutôt une nouvelle infrastructure pour le déploiement d’images et de modèles. Le produit IBM inclut un rack complet contenant tout le nécessaire afin d’aboutir à un cloud opérationnel. Avec sa possibilité intégrée d’activer ces applications selon les besoins, cette offre se combine parfaitement avec les applications WebSphere. CloudBurst permet aussi la création de modèles de macros rapides, pour un provisioning du type « exécuter une fois et déployer de nombreuses fois » intitulé Web Replay. Par ailleurs, la solution met en œuvre l’hyperviseur de VMware et la possibilité de mesurer et comptabiliser l’utilisation des ressources. Cette plate-forme d’entrée de gamme coûte environ 200 000 dollars, selon la configuration.
Longtemps sous-estimée, la sécurisation d’un système d’impression d’entreprise doit être pleinement prise en compte afin de limiter le risque de fuite d’informations sensibles. Voici les 3 principales précautions à prendre.
